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La mannequin Gisele Bündchen défend une mode sans fourrure

La top brésilienne, connue pour ses engagements envers les animaux, a posé pour le premier numéro du Vogue Paris consacré à une mode sans cruauté envers les animaux. Une parution faisant écho à la décision récente de la République tchèque d’interdire les élevages d’animaux à fourrure à partir de janvier 2019.

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La mannequin Gisele Bündchen défend une mode sans fourrure
Couverture numéro août 2017 Vogue Paris

La mode serait-elle en train de prendre durablement le tournant du sans fourrure ? La version française du magazine Vogue a tenu à marquer les esprits en publiant sa première couverture en fausse fourrure. Le magazine a ainsi décidé d’afficher, à la une de son numéro estival d’août 2017, une Gisele Bündchen emmitouflée dans un manteau de fausse fourrure, un bébé kangourou dans les mains.

Une démarche loin d’être anecdotique à l’heure où de grandes marques de prêt-à-porter et de haute couture continuent à produire des vêtements en vraie fourrure. À l’inverse, de plus en plus de créateurs, désormais mis en avant par Vogue, s’engagent dans une mode « Cruelty-Free », c’est-à-dire sans cruauté envers les animaux.  

Gisele Bundchen Instagram

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Cette initiative a été saluée par PETA, qui n’a pas manqué de rappeler l’engagement de longue date de la mannequin brésilienne Gisele Bündchen pour la protection animale. Cette dernière a notamment partagé cette couverture sur des réseaux sociaux, soutenant en légende qu’on ne doit jamais envisager de porter de la vraie fourrure.

La République Tchèque rejoint la liste des pays européens interdisant l’élevage des animaux à fourrure

PETA rappelle également que la France fait encore partie des pays européens où les élevages d’animaux à fourrure sont autorisés, contrairement à l’Autriche, à la Croatie, à la Bosnie-Herzégovine, aux Pays-Bas, à Macédoine, au Royaume-Uni, à la Suisse, à la Serbie, à la Slovénie et, récemment, à la République tchèque. Le pays a en effet adopté une loi interdisant d’élever et de tuer des animaux pour leur fourrure à partir de janvier 2019. Une nouvelle réglementation, soutenue par 83 % de la population, qui devrait permettre, selon les auteurs de la loi, de sauver 20000 animaux, surtout des renards et des visons.

L’association a lancé une pétition en ligne pour que la France suive ces exemples européens. Plus de 23 000 signatures ont pour l’instant été récoltées. 

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