Année 2016 : les 10 actualités que vous avez préférées

1/ Le refus des caméras de surveillance dans les abattoirs

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Votre attention, ainsi que vos réactions, ont été les plus importantes sur l’information qui a choqué les défenseurs de la cause animale à la fin de l’année, à savoir le refus, par les députés, de voir installer dans les abattoirs des caméras de surveillance.

Quelques jours avant la fin de l’année, les députés réunis en commission, ont donc rejeté l’une des mesures phares de la proposition de loi « relative au respect de l’animal en abattoir, pilotée par Olivier Falorni à la suite des maltraitances révélées dans des vidéos tournées clandestinement dans des abattoirs français par l’association L214.
Pour les députés, cette mesure (parmi les 65 proposées) serait trop coûteuse et mettrait trop de pression sur les employés des abattoirs.
Ce refus n’empêchera pas Olivier Falorni de représenter sa proposition de loi, dans son intégralité, en janvier 2017. On vous tiendra au courant.

2/ La journée internationale du chat noir

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La seconde information que vous avez plébiscitée en 2016, c’est l’annonce de la Journée internationale du chat noir. Elle se tient le 17 août et a pour mission de réhabiliter le chat à la fourrure d’ébène longtemps considéré comme une incarnation du diable, un suppôt de satan ou toute autre créature du mal. Un long chemin pour ce chat qui, dans les refuges, est encore celui qui est délaissé par les adoptants potentiels à cause de sa couleur…

3/ L’incendie de fort mac murray

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En mai dernier, un immense incendie ravageait la province d’Alberta, au Canada, obligeant des centaines de milliers d’habitants à quitter leur demeure en laissant parfois derrière eux leurs animaux de compagnie. Livrés à eux-mêmes ou enfermés dans les maisons, certains attendaient le retour de leur propriétaire depuis plusieurs jours. Sans le secours de groupes de bénévoles qui se sont organisés, beaucoup n’auraient sans doute pas retrouvé leurs maîtres.

4/ Un permis chien à berlin

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Passer le permis avant d’adopter un chien, c’est l’idée d’une nouvelle législation appliquée à Berlin courant 2016. Les futurs propriétaires devront désormais passer des épreuves avant d’obtenir ce certificat les autorisant à recueillir un chien. Cette mesure a été loin de faire l’unanimité…

L’examen prévoit des épreuves pratiques et théoriques, comportant notamment un test d’obéissance. L’objectif de la mesure, déjà adoptée en Basse-Saxe, dans le Nord de l’Allemagne, et en Suisse, notamment, vise à s’assurer que l’animal, sous la surveillance de son maître, ne représente pas de danger pour les humains ou autres animaux.

La principale raison de l’opposition à ce permis : son coût. Fixé à 100 euros, il comprend également une taxe annuelle de 40 euros. Ce qui reviendrait au total à 700 euros pour le propriétaire d’un chien qui aurait atteint l’âge de 15 ans.

5/ Les incendies dans les bouches du rhône menacent les refuges

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Sans la nuit du 10 au 11 août 2016, une immense chaîne de solidarité s’est mise en place dans les Bouches-du-Rhône afin d’évacuer et de mettre en sécurité les animaux des refuges menacés par les incendies. Parti des Pennes-Mirabeau, le feu s’est étendu à Fos-sur-Mer avant de se diriger vers Marseille. Pour les responsables des refuges et les bénévoles, les réseaux sociaux ont été la clé d’une évacuation rapide et dans le calme afin de mettre en sécurité les chiens et chats, mais aussi les chevaux. 

6/ Une spéciale animaux avec julien courbet

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Le 10 octobre dernier, le magazine 30 Millions d’amis s’associait à Julien Courbet et son émission « Ça peut vous arriver », sur RTL, pour résoudre des problèmes liés aux animaux. Sur Animaux-online, nous lancions un appel aux maîtres victimes d’un préjudice. Vous avez été nombreux à vous intéresser à cette information et encore plus nombreux à suivre cette spéciale qui sera, très certainement, la première d’une longue série tant l’animateur est engagé auprès des animaux.

7/ L’arrêt de l’émission 30 millions d’amis

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L’annonce a fait l’effet d’une bombe dans le milieu de la protection animale et dans les médias : par une simple lettre, Reha Hutin apprenait que l’émission qu’elle dirigeait depuis 40 ans était supprimée de la grille des programmes de France 3 au mois de juin. La nouvelle avait été annoncée par Dana Hastier, patronne de la chaîne publique. Depuis, aucune autre émission n’a fait une meilleure audience au créneau horaire occupé auparavant par la première émission animalière de France. Il y a quelques semaines, la même Diana Hastier avouait que les décisions qu’elle avait prises pour « moderniser » la chaîne (notamment le remplacement de Julien Lepers) n’étaient pas les bonnes et qu’ils (les responsables de la chaînes, ndlr) s’étaient pris une claque ! Les téléspectateurs aussi qui ont été privés de bien plus qu’une émission, d’un engagement de la chaîne publique alors que la France fait de l’animal aujourd’hui un enjeu politique.

8/ L’australie envoie un robot tuer les chats errants

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Déjà en 2015, l’Australie annonçait vouloir éradiquer quelque deux millions de chats errants afin de protéger des espèces en voie de disparition directement menacées par eux. En avril 2016, l’Etat continent s’enorgueillissait d’avoir mis au point un robot qui envoie du poison sur les chats. 

Ce sont des ingénieurs australiens dirigés par le biologiste John Read, qui après sept ans de travaux et près de 450 000 dollars de développement, ont conçu un robot tueur dont quatre exemplaires étaient déjà en service dans la réserve naturelle de Pullen Pullen. Evidemment, beaucoup d’Australiens s’étaient élevés contre ces mesures radicales.

9/ Une journée internationale pour le chien

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Si le chien n’est plus le premier ami de l’homme en France (il est devancé par le chat), le 26 août reste sa Journée mondiale. Une occasion de rappeler et de célébrer le lien qui unit nos deux espèces depuis des millénaires…

10/ Un état australien interdit les courses de lévriers

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L’information a semblé vous ravir puisque vous avez été très nombreux à lire l’article qui lui a été consacré. C’est une enquête du gouvernement qui avait dénoncé les mauvais traitements tant sur les lévriers que sur les leurres vivants qu’ils doivent poursuivre qui avait mené à l’interdiction des courses de lévriers dans l’état de Nouvelle-Galles du Sud. Ce sport national, qui est l’objet de nombreux paris, devait disparaître en juillet 2017.

Malheureusement, devant les protestations des professionnels du secteur très lucratif, la décision a été retirée. L’État de Nouvelle-Galles du Sud, le plus peuplé d’Australie, verra donc encore en 2017, les courses de lévriers…

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