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5 races de chiens idéales pour la garde

Vous cherchez un chien bon gardien ? Découvrez quelques-unes des races spécifiques grâce aux témoignages de leurs maîtres.

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5 races de chiens idéales pour la garde
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(Photo Shutterstock)

Le dobermann

Les dobermanns ont un instinct inné pour la garde, mais ils font aussi de formidables chiens de famille, explique Stéphanie. Avec mes enfants, ils sont protecteurs sans être possessifs.» Isia, 3 ans et demi, et Mariol, 6 mois, sont parfaitement éduqués: «Notre propriété est située le long d’un chemin de randonnée et il y a beaucoup de monde qui passe. Nous leur avons appris à ne pas aboyer à chaque fois». En revanche, si quelqu’un sonne la cloche au portail, ils y foncent en aboyant: «Lorsque je dis aux gens de rentrer, ils me demandent: “Vous êtes sûre ?” J’ai donc appris à mes chiens à revenir s’asseoir à côté de moi, le temps que j’ouvre la porte à distance et que les visiteurs me rejoignent. Cela m’a pris du temps, mais c’est une bonne habitude».
Stéphanie Mallet, 31 ans, aide à domicile (Puy-de-Dôme).

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Le rottweiler

Ayant toujours aimé «les gros chiens, avec du gabarit», Anne est comblée avec ses quatre rottweilers à la maison. Grâce à Exan, 7 ans, Handy et Havana, 4 ans, et Laôra, 15 mois, Anne se sent «totalement rassurée». Vivant à l’extérieur du village avec son conjoint et leur petite fille de 7 ans, Anne ne s’étonne pas de n’avoir jamais été cambriolée, « alors que c’est arrivé à plusieurs de nos voisins!» Dans la journée, les chiens sont dehors et si quelqu’un arrive, ils se précipitent au portail en aboyant: «C’est suffisant pour que la personne ne rentre pas. Mais, en excellent gardien, le rottweiler sait adapter son aboiement en fonction du visiteur : s’il le connaît, il aboiera aussi, mais de façon moins agressive».
Anne Lepage, 27 ans, éducateur canin (Isère).

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Le montagne des Pyrénées

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Liselotte a toujours aimé les grands chiens, mais la belle Cabali, sa femelle montagne des Pyrénées de 9 ans, occupe une place unique dans son cœur : « J’ai d’abord perdu mon mari, puis ma mère que j’avais prise avec moi, raconte cette adorable septuagénaire allemande qui habite six mois par an en France, dans les Pyrénées, et six mois en Allemagne, près de Hanovre. J’ai tout de suite compris que je ne pouvais pas rester seule ». Pour avoir de la compagnie, et aussi pour être rassurée, Liselotte adopte une montagne des Pyrénées de 4 ans avec un passé douloureux et des soucis de santé. « Entre nous deux, il y a eu un immense amour tout de suite. Elle garde mes maisons, et elle me garde moi ! » Avec son grand et puissant gabarit, Cabali est tellement dissuasive que Liselotte n’a jamais peur des intrus : « Dans les Pyrénées, j’habite une grande propriété avec un terrain de 7 000 mètres carrés. Si quelqu’un arrive au portail, elle va vers lui en gonflant sa large poitrine, en prenant sa grosse et belle voix, et là, personne ne rentre ! Ensuite, si j’accueille volontiers le visiteur, elle l’accepte et lui présente sa tête pour être caressée. Mais elle attend toujours de voir ma réaction, surtout si la personne rentre dans la maison ». Ce qui émeut beaucoup Liselotte, c’est l’incroyable dualité de Cabali : « Elle est d’une douceur inouïe avec moi, elle me “parle” constamment, avec des aboiements de petit chien… Mais quand il s’agit de garder, elle fait la forte, la “chef”, et aboie très différemment. Je me sens vraiment protégée ».
Liselotte Klemm-Nolte, médecin anesthésiste retraitée, 71 ans (Hautes-Pyrénées/Allemagne).

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Le berger allemand

 Pour Alain, le loyal «BA» est le chien de famille et de garde par excellence: «Mes parents en avaient déjà quand j’étais enfant. Comme ce n’était pas possible en appartement, j’ai attendu d’avoir une maison avec un jardin pour en prendre. D’ailleurs, je fais construire et je disposerai bientôt d’un plus grand terrain pour en avoir d’autres!» Actuellement, ce sont Hélios, 4 ans, et Indépendance, dite Indy, 3 ans, qui partagent la vie d’Alain et sa femme Stéphanie: «Ils ne gênent pas les voisins car ils n’aboient jamais sans raison, uniquement si quelqu’un arrive. Et ils sont très impressionnants tous les deux, surtout Hélios qui a une robe presque noire. Même mes amis, qui sont policiers comme moi, ne sont pas tranquilles à la porte d’entrée!»
Alain Barbato, 46 ans, policier (Gard).

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Le bull terrier

Passionnée par la race, Mélanie n’a pas choisi le bull terrier spécifiquement pour la garde, « mais je reconnais que c’est idéal quand on vit dans une grande maison isolée sur une colline, avec plus d’un hectare de terrain!» Aucune inquiétude à avoir, donc, même quand son conjoint n’est pas là et qu’elle est seule avec Jungo, 3 ans, Laïka, 1 an, et Laïa, 11 mois: «Ce qui est étonnant avec le bull terrier, c’est qu’il n’est pas forcément agressif mais qu’il fixe les gens dans les yeux… Les miens font ça à la maison, mais aussi en ville, ce qui suffit à éloigner toute personne louche! Nous sommes très liés psychologiquement et ils sont très protecteurs avec moi. Je pense sincèrement que si je me faisais agresser, ils attaqueraient, surtout le mâle».
Mélanie Heugas, 27 ans, sans-emploi (Indre-et-Loire).

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