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5 races de chiens idéales pour la ville

Vivre en ville et avoir un chien n’est pas incompatible. Certes, cela demande un peu d’organisation et un minimum de disponibilités, mais quel bonheur. A condition de choisir une race ‘adaptée’ à votre mode de vie. Des propriétaires citadins témoignent.

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5 races de chiens idéales pour la ville
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Le chihuahua

(Photo Shutterstock)

Sandra et son conjoint n’avaient encore jamais eu d’animal domestique. « Nous hésitions entre un petit chien et un chat, mais nous voulions une relation très affective et le chat est souvent indépendant. » Leur choix se porte alors sur le chihuahua, « petit, toujours accepté dans les magasins ou les restaurants… Du coup, on l’emmène partout, c’est royal ! » Il faut dire que Le Black Opium des Ours Gris, dit Piumpium, douze mois, ne pèse que… 1,470 kilo ! Parfaitement socialisé par son éleveuse Sophie, qui l’emmenait découvrir le monde dès son plus jeune âge, Piumpium « n’est pas du tout peureux. Il se laisse caresser par tout le monde et n’aboie jamais, même s’il croise d’autres chiens, se réjouit sa maîtresse. Chez l’éleveuse, il vivait avec des gros chiens, il n’en a donc pas peur quand il en croise dans les parcs ». Lyon, où vit Sandra, est en effet « une grande ville, certes, mais avec beaucoup d’espaces verts. Nous faisons régulièrement 5 kilomètres à pied autour du parc, sans laisse. Il suit très bien, même quand, le dimanche, nous partons en rando. Ce n’est pas un chien de sac à main, c’est un petit chien tonique et sportif ! » Très bien éduqué et habitué à vivre en ville, Piumpium ne donne aucune inquiétude à Sandra dans la rue : « Je ne le porte pas, il marche en laisse. Au feu rouge je dis “stop”, il s’arrête au passage piéton et attend sagement que je reprenne la marche ! »
Sandra Brunet, 24 ans, infirmière (Rhône).

Le bichon

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Vivant en appartement dans la banlieue parisienne, nous avons opté pour un chien de petite taille, c’est plus facile à gérer qu’un berger allemand ! raconte Isabelle. Nous avons donc choisi un bichon frisé. » En plus du caractère adorable, fusionnel et ultracâlin d’Hisland, 13 ans, Isabelle a découvert avec bonheur le côté pratique de la race: «Il ne prend pas de place, un petit panier lui suffit… Et puis le bichon est très sociable avec ses congénères. Lorsqu’il croise d’autres chiens lors des promenades en ville, il n’est jamais agressif. Même chose avec les enfants!» En bonne citoyenne, Isabelle insiste sur l’aspect propreté: «Je ne sors jamais sans mes petits sacs-poubelle. En ville, je ne peux pas tolérer qu’on ne ramasse pas les déjections de son chien!»
Isabelle Poggioli, 60 ans, retraitée (Hauts-de-Seine).

Le bouledogue français

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Habitant au cœur de Rouen, Laurence se réjouit chaque jour de vivre avec sa petite chienne Lol, âgée d’un an: «Le bouledogue français est idéal parce qu’il n’est pas trop gros, pas encombrant… Du coup, on peut l’emmener partout». En dépit de son «caractère bien trempé», qui ne déplaît pas à sa maîtresse, Lol est sociable et facile à vivre: «Dans Rouen, mon mari la promène en laisse. Dans les petites rues piétonnes, il la lâche, elle s’éloigne un peu, mais elle comprend très bien le rappel. Et quand je vais voir mon fils qui habite en plein Paris, dans le 6e arrondissement, elle ne pose aucun problème». Bien qu’elle soit plus habituée à vivre en ville, Lol ne dédaigne pas les balades au bord de la mer en Bretagne: «Elle s’adapte partout!»
Laurence Bertuzzi, 50 ans, professeure (Seine-Maritime).

Le petit lévrier italien

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Partager avec cinq chiens un appartement de 70 mètres carrés, c’est possible… quand il s’agit de petits lévriers italiens! «D’abord parce qu’ils cohabitent très bien et ne prennent pas de place, mais aussi parce que je m’investis énormément», reconnaît Muriel. La propriétaire d’Adélie, Cézanne, Gribouille, Givenchy et J’adore, âgés de 2 à 12 ans, s’arrange pour rentrer tous les midis. «C’est une organisation de la vie quotidienne. Je les sors quatre fois par jour en bord de Loire, mais pas tous ensemble, donc moi je sors huit fois!» Amoureuse de ces chiens «fins, sensibles et intelligents comme des chats», Muriel les promène uniquement en laisse: «Même si certains obéissent très bien, en ville je ne veux pas prendre de risque, ni déranger les gens à vélo, par exemple».
Muriel Myotte, 43 ans, enseignante (Loiret).

Le golden retriever

(Photo Shutterstock)

 Hélène et Gérard n’imaginent pas leur vie sans Habby, 4 ans: «C’est notre bébé, on est rythmés sur elle!» reconnaît l’heureuse propriétaire de cette chienne «parfaitement adaptée à notre mode de vie citadin. Elle a toujours vécu en ville, n’a pas peur des camions…» Afin de répondre à son besoin d’exercice, ses maîtres lui offrent « entre quatre et cinq sorties par jour, dont deux longues d’environ une heure. Mais à la maison, c’est un gros chat!» Habby vit en appartement au 5e étage. Elle prend l’ascenseur et connaît tous les voisins, «avec une préférence pour ceux qui lui donnent un biscuit ou une caresse à chaque rencontre! Elle est extrêmement sociable».
Hélène Cottancin, 67 ans, retraitée (Bas-Rhin).

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